Coucou tout le monde ! ça fait un moment que j'ai pas posté. Bon et bien voilà j'arrive avec un nouvel OS que m'a imposé Natsu. Le sujet est : Si Azashi participait à une émission de télé-réalité, que se passerait-il?
Je tiens d'abord à m'excuser auprès d'elle, parce que j'ai mis du temps avant de le rédiger, je l'ai réécrit, la première version ne m'allant pas.
Seulement l'histoire est assez longue donc, je vais faire l'histoire en plusieurs parties. Je ne sais pas quand je publierai les autres. Mais bon pour l'instant, je vous offre ma première partie 
Bonne lecture ! Réputation de Tombeur
Le bruit sourd du moteur de l'avion envahissait le compartiment des passagers. Mais la musique qui s'échappait de ses écouteurs lui permettait de faire abstraction de ce bruit. Assis côté hublot, il regardait paisiblement le ciel. Il tentait d'apercevoir un paysage à travers tous ces nuages. Mais en vain. Le ciel bleu apparaissait de temps à autre et cette vision l’apaisait.
L'avion volait direction l'inconnu. A vrai dire, il ne connaissait pas cette île, soit disant située dans le Pacifique. Ce « jeu » allait donc se dérouler au milieu de la populace. Son coude appuyé sur l'accoudoir gauche, il plaça sa main gauche sur ses yeux et soupira. Mais comment en était-il arrivé là ?
*
Il était assis à un de ces bancs devant son école, qu'il avait intégré à demi par défaut. Ses avants-bras appuyés sur ses cuisses, il regardait le sol. Aucune pensée ne traversait son esprit. Son visage n'affichait aucune expression. Ou peut être un peu de regret ou de tristesse. Quelqu'un vint s'asseoir auprès de lui, il ne disait rien. Il passa sa main droite dans la poche centrale de sa veste et en sortit un paquet de cigarettes. Il l'ouvrit, prit une cigarette, la coinça entre ses lèvres et rangea son paquet. Il prit son briquet et plaça sa main gauche au dessus de son autre main, tout en approchant son visage. Il tenta d'allumer une flamme, plusieurs fois, mais en vain. Il secoua son briquet, affichant comme tous les fumeurs cette expression étrange lorsqu'ils ont la clope au bec. Finalement, il réussit à cramer le bout de sa cigarette, cracha une bouffée de fumée et rangea son briquet dans la poche de son jean.
Il lâcha un profond soupire avant de lancer :
-Décidément, je n'arriverais jamais à te comprendre.
Il aspira de nouveau le tabac cramé de sa cigarette.
-Ouais, tu es foutrement bizarre, reprit-il. Pourquoi tu ne refuses pas ? Il n'y a pourtant rien d'officiel.
-Je veux que ce rouquin se la boucle une bonne fois pour toute.
-Toi alors. J'arrive pas à comprendre pourquoi tu te prends autant la tête. D'habitude, lorsqu'il y a quelque chose de stressant ou de trop difficile à supporter, les gens laissent tomber. Alors pourquoi pas toi ? Je me souviens que tu m'avais dit que tu avais toujours relevé tous les défis qui étaient sur ton chemin, comme par exemple l'arbitrage. Pendant deux ans, tous les dimanches, c'était un stress pour toi. Et tu n'as jamais abandonné, peu importe la difficulté à affronter, tu y allais sans broncher. Bon, d'un côté c'est vrai que cela te fait avoir une certaine maturité. Mais mince ! T'as pas envie d'arrêter de te prendre la tête ? Tu n'en as pas marre de te torturer l'esprit ?
Il se calma et aspira une nouvelle fois cette fumée étouffante.
-Tout le monde cherche le bonheur. Et toi, j'ai l'impression que ton seul bonheur c'est quand tu t'enfermes dans ce monde de tristesse et de souffrance.
-Je ne suis pas tout le monde.
-Oh ça je sais ! Et tu veux savoir ?
Il porta sa cigarette à ses lèvres et cracha une longue traînée de fumée.
-Je pense pas que tu sois fait pour être malheureux. Il faut juste que tu apprennes à arrêter de te prendre le choux, et que tu apprennes à te faire plaisir.
-Tu sais, participer à cette télé réalité est sûrement une belle connerie. Mais j'ai besoin de me prouver que je suis quelqu'un, que j'ai pas cherché à être différent toute ma vie pour finalement n'être qu'une petite chose futile.
Il soupira et lança :
-Décidément, on ne te changera jamais. Mais je te soutiendrai jusqu'au bout, mec.
*
Il étouffa un rire en repensant aux auditions. Cette audition qui faisait le buzz sur internet. Il l'avait passé pour être le « tombeur » masculin. Son but serait de détruire tous les couples de l'émission, qui eux sont censés résister aux tentations du « couple de tombeur ». Ce couple destructeur disposait de cinq mois pour séparer cinq couples. Peu importait la méthode, il fallait que soit ce couple gagne, soit qu'un des « couples victimes » survive. Il ferma les yeux et repensa à cette audition, qui le fît sourire.
*
La salle était bondée. Il ne savait combien ils devaient être au total, mais plusieurs chiffres s'affichaient sur tous ces autocollants placardés sur les poitrines des candidats. Il était très certainement le plus jeune parmi les hommes, sûrement même des femmes. Appuyé contre le mur dans un des coins de la salle, il observait ces « adversaires ». Les hommes étaient musclés, pour certains plutôt mignons, pour d'autres non – mais dans ce cas les muscles compensaient. Il ne faisait parti d'aucune catégorie. Il ne s'était jamais considéré comme beau, même si on lui avait plusieurs fois affirmé le contraire, il n'était pas bourré de muscles. Il avait toujours était mince et cela lui convenait. Les femmes, quant à elles, paraissaient toutes siliconées. Il aurait du le prévoir, passer cinq mois auprès d'une pimbêche n'allait pas être de la tarte.
Il ferma les yeux et tenta de faire abstraction du bruit, qui l'agaçait. Il les rouvrit et aperçu une jeune demoiselle qui paraissait être différente. Elle devait avoir à peu près son âge, elle devait mesurer pas loin d'un mètre soixante-dix, ses cheveux longs et châtains s'harmonisaient parfaitement avec son visage à l'expression si calme et si douce. Et une fois de plus, il allait rester planté là, à ne rien faire. Il allait, une fois de plus, laisser passer sa chance d'aimer, peut être, une femme qui lui conviendrait. Puis il sortit son portable, pour faire passer le temps. Il avait reçu quelques textos, de ses amis, des messages d'encouragements. La vision d'horreur de tous ces candidats déjà en train de se séduire entre eux le dégoûtait. Finalement, on appela son numéro. Et il se présenta face au jury.
Pour une émission d'une telle ampleur, la salle d'entretien n'était franchement pas terrible. On aurait presque dit une vieille salle de cours où des étudiants venaient ici simplement pour passer les oraux du bac. Les murs étaient d'un bleu ciel vraiment moche. Peut être que le décor paraissait plus design sur les écrans des spectateurs, grâce aux logiciels sophistiqués existants désormais à notre époque. Le jury se tenait derrière une longue table qui, elle, paraissait plutôt rénovée. Il y avait un homme qui devait avoir entre quarante cinq et cinquante ans, si ce n'était plus, chauve avec de petites lunettes rondes ; il avait l'air plutôt sympa car à la vue du jeune candidat, il se mit à sourire. L'autre homme présent, avait une tignasse brune et épaisse, mais l'on apercevait pourtant de nombreux cheveux blancs ; il devait se situer dans la même tranche d'âge que son collègue, mais contrairement à celui-ci, aucun sourire n'apparaissait sur son visage ridé. Et entre eux, se tenait une femme, plus jeune et plus élégante. Elle lui sourit mais redevint vite sérieuse.
-Bonjour jeune homme. Comment vous appelez-vous ?
-Azashi.
-Quel âge avez-vous ?
-Dix-neuf ans.
-Vous ne trouvez pas que vous êtes un peu jeune pour ce genre d'émission ? demanda l'homme ridé. -Si c'était le cas, je ne serais pas là.
-Bonne réponse, répliqua le chauve.
-Et sur quels atouts comptez-vous détruire ces couples ? demanda la femme. Sur votre corps d'athlète et votre jeunesse ?
-Je viens apporter une touche d'originalité à votre émission. Mais si je devais tout vous dire, il n'y aurait plus d'intérêt à ce que je participe, répliqua Azashi avec un sourire sournois.
-Intéressant, lança le chauve en laissant flotter ce mot en suspend. Et pourquoi vous et pas un autre ?
-Cela dépend, vous cherchez des gens originaux ou des acteurs pornos ?
Le vieil homme éclata de rire, ce qui ne fut pas le cas de ses deux compagnons. Azashi afficha un sourire en coin, en signe de victoire. Lorsque "l'homme sans cheveux" reprit ses esprits, il reprit la parole en le désignant du doigt :
-Ah ! J'aime ce gosse !
La femme annonça que l'entretien était fini, et qu'il recevrait une réponse dans quelques jours. Il les salua et s'approcha de la porte, lorsque la femme lança :
-Je reste tout de même perplexe, quant à vos méthodes.
-Vous ne voulez tout de même pas que je fasse de vous ma première victime, n'est-ce pas ?
De leur place, on pouvait apercevoir le bord de ses lèvres tendues. Un large sourire, sadique et sournois, arborait son visage. Un faux sourire, forcé, qui avait pour seul but de déstabiliser le jury. Il ouvrit la porte et s'en alla, laissant cette femme confuse et sans lui laisser le temps de répondre.
*
L'avion arriva à destination. Vêtu de ses lunettes de soleil, il aperçut que des caméras l'attendaient.
-On va mettre un peu de piment dans ce jeu, pensa-t-il.
Et avec une discrétion, qu'il avait toujours su utiliser à bon escient, il réussit à échapper aux caméras. Il trouva un taxi. Il indiqua l'adresse des résidences où il devait se rendre et partit laissant le personnel de la production sur place.
La tête appuyée contre la vitre de la vieille voiture, il regardait défiler les paysages. Cela ressemblait bien aux paysages caractéristiques des îles. Les mêmes que sur les photos de l’Île Maurice, que ses parents avaient ramené il y avait deux de cela. Le chauffeur, originaire de l'île, fît un brin de causette avec lui. Azashi prit plaisir à discuter avec ce chauffeur, qui s'avérait être très agréable. Lorsqu'il arriva à destination, il le remercia et le paya. Le chauffeur s'en alla en lui souhaitant bonne chance.
Les maisons, dans lesquelles ils allaient être logés, étaient vraiment magnifiques. Elles étaient rondes, faites de bois, et leur toit, étaient fait de branches de pandanus, comme ceux des hôtels de Bora Bora. Il s'avança et décida de rentrer dans la résidence.
Comme à son habitude, il ne passa pas inaperçu. Il avait laissé ses affaires à l’accueil, ceux-ci leur ayant assuré qu'il pouvait les laisser là le temps que la production revienne. Il se baladait dans la résidence, ses lunettes, similaires à des Ray-Ban, sur le nez. Le bas de sa chemise noire s'agitait au petit air chaud qui réchauffait les individus, malgré le grand soleil déjà présent. Il s'approcha de la piscine. Il sourit à toutes les jeunes demoiselles qu'il croisa, qui ne tardaient jamais à lui répondre. Il n'aurait jamais pensé qu'il y aurait autant de jolies jeunes filles. Il entra dans l'aire de la piscine et alla s'installer au bar.
-Tu as l'air de faire fureur, mon gars, dit le jeune barman.
-On dirait, ouais, ria Azashi.
-Qu'est-ce que je te sers ?
-Je ne sais pas. La spécialité du coin ! répondit-il avec le sourire.
Il retira ses lunettes et les posa sur le comptoir. Une femme, d'une trentaine d'année, s'approcha du bar, accompagnée d'un petit garçon. Le barman déposa le cocktail devant Azashi, qui le remercia et qui accrocha ses lunettes à son t-shirt.
-Je voudrais une glace à la vanille, demanda le jeune garçon.
-Qu'est-ce qu'on dit ? le réprimanda sa mère.
-S'il-vous plaît, dit le jeune garçon.
Azashi et le barman eurent un petit rire.
-Tiens, voilà ta glace bonhomme, dit le barman en lui tendant sa glace.
-Merci ! Maman je peux retourner voir papa ?
La femme acquiesça et s'assit au comptoir. Elle soupira, Azashi but quelques gorgées de son cocktail.
-Venir ici pour tenter de sauver un couple qui n'a déjà plus d'avenir, si ce n'est pas pathétique.
Son fils l'appela et courut vers elle. Mais il trébucha, tomba au sol et se mit à pleurer de douleur. Azashi s'éjecta du tabouret et courut vers l'enfant. Il s'était égratigné les genoux. Plus de peur que de mal. Azashi remit le garçon sur pied. Il s'accroupit face à lui.
-Regarde, tu as fait un trou dans le sol, tellement tu as de force.
Le garçon regarda le sol et, s'apercevant de la supercherie, se mit à rire. Sa mère prit son fils dans ses bras et le rassura, puis elle le lâcha et alla crier sur son mari qu'il ne savait pas s'occuper de son fils. Azashi regarda le mari en question, il paraissait ne jamais se préoccuper de sa femme et de son enfant.
-J'aime pas quand papa et maman se crient dessus.
Azashi regarda le jeune garçon.
-Ne t'inquiètes pas bonhomme, lui dit-il en souriant.
Il lui mit ses lunettes sur le nez et frotta ses cheveux en lui adressant un clin d’œil. Sa mère vint reprendre son fils et le porta.
-Merci et désolé de vous avoir fait assister à cette scène.
-Je vous en prie. Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais, je ne suis pas sûr qu'il soit fait pour vous. Toute personne censée peut s'apercevoir qu'il n'a que faire de vous.
-Je sais, dit-elle d'un air attristé. J'ai fait l'erreur de l'aimer. Mais il a beaucoup changé depuis.
Elle hésita avant de reprendre :
-Peut être pourrions-nous nous revoir...
-Désolé, mais ce charmant jeune homme est déjà accompagné.
Une jeune femme s'était accrochée à son bras.
-Oh je vois. Allez Tom, rends les lunettes à ce monsieur.
-Garde les, elles sont pour toi bonhomme.
La femme partit avec son enfant, qui lui adressa un au revoir de la main. Il se retourna et fut étonné de voir qui était accroché à son bras.
-Je savais que ce serait toi qui serais choisi, lui dit-elle.
**
La production était arrivée en catastrophe. Elle ne comprenait pas où j'étais passé. Je leur avais alors expliqué que je n'avais vu personne à mon arrivée et que je m'étais donc débrouillé par mes propres moyens. Cela avait complètement tourmenté leurs plans. La jeune demoiselle qui serait ma compagne retenait des rires, comprenant que c'était moi qui les bernais depuis le début.
Oui, elle. J'avais finalement eu de la chance. Cette femme était celle que j'avais remarqué lors des auditions. Une chance pour moi.
Je la suivais sans parler. J'étais occupé à regarder des fiches, que la production nous avait donné, où il était écrit quelques informations sur les « couples victimes ». Nous nous dirigions vers ce qui allait être notre maison pendant cinq mois. Nous entrâmes dans ces maisons de la résidence. Elle n'était pas très grande mais cela suffisait. Il y avait un grand salon qui se confondait avec la cuisine. Ils avaient remplacé le mur de cette partie de la maison par une grande baie vitrée, qui offrait une magnifique vue sur l'océan. La chambre, quant à elle, avait un côté chaleureux et accueillant. Un lit double se situait au fond de la pièce, dans le coin, près de la fenêtre.
-Je te laisse le lit, je dormirai sur le canapé, lançai-je dans un élan de galanterie.
-Aurais-tu peur de dormir avec une inconnue ? me lança-t-elle en me taquinant.
-Pas le moins du monde.
Elle eut un petit rire et partit dans le salon. Je l'entendis ouvrir la baie vitrée. Je posai mes valises et partis la rejoindre. Elle avait enroulé son bras autour d'un poteau en bois et elle regardait l'océan en silence. Je laissai mon épaule droite s'appuyer contre la porte de la baie vitrée et croisai les bras. Vêtue simplement de son bikini et d'un paréo, je pus constater qu'elle était physiquement très attirante. Sa longue chevelure châtain ne faisait que la rendre plus belle. Jennyfer était le prénom qui s'accordait à ce physique de rêve.
-Il y a une fête ce soir. Ça va être l'occasion de voir comment sont nos proies.
Il y avait de la détermination dans ses dires.
-Tu n'as pas l'air très bavard, reprit-elle. Après tout, cela n'a pas d'importance.
Elle passa à côté et partit se chercher une boisson fraîche dans le frigo. Je m'avançai alors sur cette plate forme qui entourait la maison. Je m'appuyai à mon tour sur ce poteau en bois et regardai l'océan avec insistance. Quelque chose de froid vint se coller à ma joue. Elle me tendait une canette pendant qu'elle buvait une gorgée de la sienne.
-Merci, dis-je en la prenant.
-Comment est-ce que tu comptes t'y prendre ?
-Je vais m'adapter. Leur donner ce qu'elles veulent.
-Tu ne comptes pas te faire plaisir ? me lança-t-elle d'un air taquin.
Je pris une gorgée et répondis :
-Je ne sais pas me faire plaisir.
Nous marchions tous deux vers le lieu de la fête. La nuit était tombée sur l'île et j'appréciais l'ambiance que cela procurait. Au loin, on entendait la musique qui devait déjà en faire danser plus d'un, mais on voyait aussi toutes ces belles couleurs provenant des projecteurs et qui illuminaient parfaitement le lieu de la fête. Jennyfer me donna la main.
-On est un couple, non ? me dit-elle d'un air dragueur.
Je lui souris et nous continuâmes notre chemin, main dans la main.
Plusieurs petites tables rondes, entourées de fauteuils, avaient été installées non loin de la piste de danse. Nous nous approchions d'une table vide, lorsqu'elle s'arrêta et me dit qu'elle allait chercher des boissons. Elle commença à partir mais je la rattrapai par le poignet, l'emmena contre moi et déposa un baiser sur ses lèvres. Elle me regarda, surprise.
-On est un couple, non ? lui dis-je d'un air dragueur.
Elle me sourit et s'en alla. Je m'installai sur un des fauteuils et observai les lieux. Face à moi, à une autre table, se tenait un couple. Mais il paraissait régner une certaine distance entre eux. Leur tête me disait quelque chose. Mais bien sûr ! Ils sont un des couples que je dois détruire. Je me concentrai alors sur leur conversation.
-T'es chiant, sérieux ! On vient à une fête pour s'amuser et Monsieur préfère rester assis à boire des cocktails.
La femme ragea et se leva pour rejoindre la piste de danse. Jennyfer revenait, boissons en main. Une idée traversa alors mon esprit.
-Jennyfer, tu devrais aller voir le monsieur en face, je crois qu'une boisson servie par une séduisante inconnue risque de le ravir.
-Mais pourquoi ? Que vas-tu faire toi ?
-M'occuper de sa femme.
Elle comprit alors où je voulais en venir et m'adressa un clin d’œil. Quant à moi, je partis rejoindre la demoiselle en question sur ce rythme envoûtant.
J'avançai d'un pas sur vers elle, me faufilant entre ceux qui étaient possédés par ce rythme endiablé. Elle faisait ondulée son corps d'une façon très sexy. A ce moment, on aurait dit qu'elle lâchait totalement prise avec son mari ou petit ami. Je me plaçai derrière elle, posai mes mains sur son ventre, et ondulai mon corps comme le sien. Contrairement à ce que je pensais, elle prit un malin plaisir à m'avoir contre elle. Elle continuait à bouger son corps sensuellement, pendant que mes mains caressaient son ventre et ses hanches. Je glissai volontairement un baiser dans son cou. Elle se retourna alors et passa ses bras autour de mon cou. Je la pris par les hanches et nous continuâmes à danser. A la fin de la chanson, elle me regardait, intriguée. Je lui souris, me laissai fondre dans la masse, et disparus comme le souffle de l'hiver qui s'envole pour laisser place au printemps.
Lun 19 Déc - 21:58
. Mais bon, je dois dire que je ne suis pas déçue. Je trouve ton angle d'attaque pour ce sujet vraiment intéressant 
. Et puis, c'est pas la peine de t'excuser. Je n'aime pas quand tu t'excuses auprès de moi surtout que l'attente en valait la peine 
